Méditation avec la parabole des ouvriers à la vigne
Mosaïque Croix St Clément
Croix de St Clément de Rome
" Je suis la vigne et vous êtes les sarments"
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Je regarde vers le haut et je suis ébloui(e)
Ebloui(e) par tout cet or
par cette profusion de rameaux qui s’enroulent indéfiniment
Je les suis ces spirales de la vigne avec mon doigt
Je les suis de mon regard
Et tout s’enroule, tout s’enchaine
Eternellement
Magnifique voute céleste qui annonce le Royaume, le lieu de Dieu, le lieu des hommes
La main du Père nous dévoile son fils qui a donné sa vie
Le monde est là qui s’enracine dans la croix
La croix est arbre de Vie
Tous les oiseaux du paradis et tous les animaux viennent boire à cette source
Je suis, moi aussi, colombe, aimée de Dieu
Posée en ce monde
Emportée vers la vie avec le Christ en croix
Toute la création est là
Toute la vie est là
Je regarde vers le haut et je suis au ciel
Et le ciel est sur la terre
Toute la création reçoit par cette vigne la vie et la nourriture
Que l’arbre soit à jamais abri pour les oiseaux et leurs nids !
Que l’arbre de vie soit à jamais abri pour que nous demeurions en lui !
Les ouvriers à la vigne
Méditation Matthieu 20, 1-16 Les ouvriers à la vigne
Dans ce fichier Textes méditation , 3 versions différentes :
Version intégrale de Martine Desèvre
Version simplifiée pour de jeunes adultes
Version Enfance
Image de Brigitte Comby
Version simplifiée du texte de Martine Desèvre
Qu'il est grand, Seigneur, l'univers que tu as créé !
Qu'elle est grande la terre !
Où donc est la Vigne à laquelle tu appelles?
Tu nous invites à la liesse des vendanges,
sur les coteaux écrasés de chaleur et recouverts de pampres gorgés de soleil.
C'est du Ciel dont tu nous entretiens. Et tout change.
Car l'aune de ton Royaume, c'est l'amour.
Et dans ta bonté, il n'y a ni premier, ni dernier.
Chacun est unique, irremplaçable. Que tu veux combler!
Alors, comme le vigneron qui se lève dès le matin,
Pour que ta vigne porte du fruit, fruit de son travail,
comme le vigneron, tu "sors",
tu sors admirablement à notre rencontre,
pour que nous venions à toi, œuvrer avec toi,
dans une relation unique et personnelle.
Nous sommes, Seigneur, les ouvriers.
Tu nous ouvres la porte et nous embauches à ta vigne.
De grâce, attends-nous toujours, même si nous tardons.
De grâce, accueille ton ouvrier, ton bien aimé de toujours!
Seigneur, fais-nous revenir
Que ton visage s’éclaire
Et nous serons sauvés!
Version intégrale du texte de Martine Desèvre
Dès l'orée de ta parabole, Seigneur,
tu nous invites à la liesse des vendanges,
sur les coteaux de Palestine écrasés de chaleur
et recouverts de pampres gorgés de soleil.
Mais quelle parole inouïe, Seigneur !
Pouvons-nous l'entendre ?
Quel scandale provoques-tu ?
Quelle révolte soulèves-tu
en nous qui luttons dans le monde,
assurés de ton soutien,
pour faire régner la justice et le droit :
"A travail égal, salaire égal" ?
Nous ne sommes pas vignerons
mais évaluons la différence
entre douze heures accomplies
sous l'ardeur d'un été, même finissant,
et une heure passée
dans la fraîcheur du soir.
A peine les ouvriers arrivés sur le tard ont-ils saisi les outils
que déjà ils les déposent et touchent le même salaire.
Qualifié de "juste" par un maître bien étrange, et "injuste" à nos yeux…
si nous le mesurons à l'aune de notre monde.
Aussi murmurons-nous.
Nous qui comptons avec soin nos actions et nos dons.
Qui nous jugeons vivement supérieurs, plus généreux,
plus méritants que les indifférents, les moins que rien,
les peu préoccupés du sort des autres.
Mais c'est du Ciel dont tu nous entretiens. Et tout change.
Car l'aune de ton Royaume, c'est l'amour.
Et dans ta bonté, il n'y a ni premier, ni dernier.
Chacun est unique, irremplaçable. Que tu veux combler.
Alors tu "sors", tu sors admirablement à notre rencontre,
pour que nous venions à toi, œuvrer avec toi,
dans une relation unique et personnelle.
Nous sommes Seigneur, les ouvriers de la onzième heure.
Tu nous ouvres la porte et nous embauches à ta vigne Église, malgré l'heure tardive.
Qui donc es-tu pour nous donner autant qu'à tes bien-aimés de toujours ?
Toi qui ne juges pas selon les apparences,
mais dont la miséricorde décèle les pauvres désirs
qui s'élèvent dans l'ombre de nos cœurs ?
De grâce, attends-nous toujours, même si nous tardons
Version enfance
Qu’il est grand, Seigneur, l’univers que tu as créé !
Qu’elle est grande la terre !
Quelle est belle la vigne des hommes aux multiples visages !
Quelle est belle Ta vigne qui grandit sous Ton regard !
Alors, comme le vigneron qui se lève dès le matin,
Pour que la vigne porte du fruit, fruit de son travail,
comme le vigneron, Seigneur, Tu sors
Tu sors à notre rencontre…
Par Ta Parole, Tu appelles dans le silence de nos cœurs. Et tout change.
Où donc est la Vigne à laquelle tu appelles ?
Tu nous invites à travailler pour la joie des vendanges,
sur les coteaux écrasés de chaleur et recouverts de pampres gorgés de soleil.
Nous sommes, Seigneur, les ouvriers de Ta Bonne Nouvelle.
Tu nous ouvres la porte et nous embauches à Ta vigne.
Chacun est unique, irremplaçable.
Et dans ta bonté, il n’y a ni premier, ni dernier.
Car Ton Royaume, c’est l’Amour.
De grâce, attends-nous toujours, même si nous tardons.
De grâce, accueille ton ouvrier,
Accueille-moi, ton bien aimé de toujours !